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NOUVELLES EN FRANCAIS | 20 febbraio 2024, 16:56

A l'Apatride la patrie reconnaissante, 21 février 1944

Les Manouchian, Missak, fusillé le 21 février 1944 au fort-clairière de mont-Valérien (Suresnes), et Mélinée sa femme, au Panthéon, cérémonie 21 février 2024, sur France2, à partir de 17h05 ( pour ceux qui jouissent de la réception satellitaire )

Photographie prise par les nazis le 21 février 1944 dans la cour du fort de Mont-Valérien (Suresnes) de membres du groupe FTP-MOI, Missak Manouchian est le deuxième à gauche

Photographie prise par les nazis le 21 février 1944 dans la cour du fort de Mont-Valérien (Suresnes) de membres du groupe FTP-MOI, Missak Manouchian est le deuxième à gauche

Furent fusillés au fort du mont Valérien ( Suresnes, Hauts-de-Seine ) le 21 février 1944, 22 ( on dit 23, en considérant Golda Bancic résistante, dont sous ) condamnés à mort du groupe MOI-FTP, Main d'OEuvre immigrée ensuite dans les Francs-Tireurs et Partisans de la région parisienne, parmi lesquels leur chef responsable Missak Manouchian ( 38 ans ), d'origine arménienne qui avait fui le génocide des Arméniens par les Turcs, tout comme sa femme.

La seule femme du groupe ( on ne fusillait pas les femmes, « procédure » réservée qu'aux hommes ), Golda ( Olga ) Bancic, déportée et emprisonnée en Allemagne, fut guillotinée à Stuttgard dans la cour de la prison le 10 mai 1944.

Le commissaire du groupe, Epstein, fut arrêté dans une autre opération de répression des Brigades spéciales et fusillé en avril 1944. Tous furent arrêtés en filature par les Brigades spéciales BS de Vichy.Affiche dite rouge dont en annexe tirée du Site memoiresdeshommes.gouv.fr, diffusée en 15 000 exemplaires à l'époque de février 1944 par la propagande de Vichy et des nazis, qui en prétendant les criminaliser par des accents soit anti-communistes soit antisémites. Le tract r / v présente dix photos des condamnés, sept d'origine juive polonaise.

Le groupe MOI regroupait un quelque 70 combattants ( à Paris et région, sorte de Gap ), le groupe comptait aussi des français. Et parmi les condamnés à mort, il y avait des résistants d'origine arménienne, espagnole ( républicain ), italienne ( 5 ), juive polonaise hongroise roumaine.

POUR EN SAVOIR PLUS

 

Les resistants de l'affiche rouges img depuis le Site memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

les-resistants-de-l-affiche-rouges_img depuis le Site memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

red.

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