Mentre il mondo sembra distratto, c’è una verità che non si può ignorare: i palestinesi hanno diritto a esistere come Popolo, mentre Netanyahu continua a trasformare Gaza in un laboratorio di oppressione e morte. La Palestina non è una terra vuota né una semplice contesa geografica. Ha una storia millenaria, tradizioni, lingua, costumi e radici profonde, e negare a chi la abita l’esistenza come popolo significa calpestare secoli di identità e memoria collettiva.
A chi sostiene che la Palestina non esista, o che i palestinesi non siano un popolo, si può rispondere con semplicità: la storia, la cultura e le vite quotidiane parlano da sole. I palestinesi hanno vissuto e continuano a vivere in quella terra da generazioni; hanno strutture sociali, scuole, università, istituzioni culturali. Non si tratta di opinioni: si tratta di fatti. Ignorare questo significa piegare la realtà a un’agenda politica aggressiva e inumana.
Ogni popolo ha il diritto di decidere del proprio futuro. I palestinesi non chiedono favori, chiedono di vivere liberi, di governarsi e di scegliere la propria strada senza occupanti e bombardamenti che decidono per loro ogni giorno. E invece Gaza è diventata una prigione a cielo aperto: blocchi, assedi, attacchi mirati, tutto volto a rendere la vita dei civili insopportabile, un inferno permanente. Nessuna giustificazione militare può cancellare il dolore e la sofferenza di milioni di persone, bambini, donne e anziani che non sono numeri ma esseri umani.
La legge internazionale parla chiaro, ma viene ignorata. Israele non può annettere territori e imporre il proprio controllo totale sui palestinesi, eppure Netanyahu procede come se le norme fossero carta straccia. Non si tratta solo di politica: è una questione di etica e morale. Nessun popolo può essere ridotto a mero strumento, a popolo da macello. E mentre Gaza soffre, il Governo Meloni mostra una compiacenza imbarazzante verso il leader israeliano, arrogante e spregiudicato. Sostenere chi calpesta i diritti dei palestinesi significa voltare le spalle alla giustizia, alla storia e alla morale.
E qui, inevitabilmente, viene in mente la nostra Valle d’Aosta e la sua autonomia. Se La Savoia, il Vallese o il Piemonte decidessero di annetterci, cosa faremmo? La nostra storia, la nostra cultura e i nostri diritti non sono negoziabili. Proprio come i palestinesi, anche noi abbiamo il diritto di decidere del nostro futuro e di difendere la nostra identità di fronte a chi vorrebbe ridurci a mero strumento politico. L’autonomia non è un dettaglio: è il cuore della nostra dignità.
Non si tratta di schierarsi a favore o contro uno Stato, ma di dire sì al popolo palestinese, sì alla libertà, no a Netanyahu e ai suoi piani di oppressione. E allo stesso tempo ricordare che ogni popolo ha il diritto di difendere la propria terra, la propria cultura e la propria libertà. La politica italiana dovrebbe fare un passo indietro e guardare i fatti in faccia: sostenere la vita, la dignità e i diritti dei palestinesi non è un favore a qualcuno, è un obbligo morale verso l’umanità.
Palestina sì, Netanyahu no
Alors que le monde semble distrait, une vérité ne peut être ignorée : les Palestiniens ont le droit d’exister en tant que peuple, tandis que Netanyahu continue de transformer Gaza en un laboratoire d’oppression et de mort. La Palestine n’est pas une terre vide ni une simple zone de conflit. Elle possède une histoire millénaire, des traditions, une langue, des coutumes et des racines profondes. Nier l’existence du peuple qui y habite, c’est piétiner des siècles d’identité et de mémoire collective.
À ceux qui prétendent que la Palestine n’existe pas ou que les Palestiniens ne sont pas un peuple, il suffit de répondre que l’histoire, la culture et la vie quotidienne parlent d’elles-mêmes. Les Palestiniens vivent sur cette terre depuis des générations ; ils disposent de structures sociales, d’écoles, d’universités et d’institutions culturelles. Ce ne sont pas des opinions : ce sont des faits. Ignorer cela, c’est plier la réalité à une politique agressive et inhumaine.
Chaque peuple a le droit de décider de son avenir. Les Palestiniens ne demandent pas de faveurs : ils demandent de vivre libres, de s’autogérer et de choisir leur propre chemin, sans occupants ni bombardements qui décident pour eux chaque jour. Gaza est devenue une prison à ciel ouvert : blocus, sièges, attaques ciblées, tout est fait pour rendre la vie des civils insupportable, un enfer permanent. Aucune justification militaire ne peut effacer la douleur et la souffrance de millions de personnes — enfants, femmes et personnes âgées — qui ne sont pas des chiffres mais des êtres humains.
Le droit international est clair, mais il est ignoré. Israël ne peut annexer des territoires ni imposer son contrôle total aux Palestiniens, et pourtant Netanyahu agit comme si les règles n’avaient aucune valeur. Ce n’est pas seulement une question politique : c’est une question d’éthique et de morale. Aucun peuple ne peut être réduit à un simple outil, à un peuple sacrifiable. Et pendant que Gaza souffre, le gouvernement italien, sous Meloni, montre une complaisance embarrassante envers le leader israélien, arrogant et sans scrupules. Soutenir ceux qui piétinent les droits des Palestiniens, c’est tourner le dos à la justice, à l’histoire et à la morale.
Ici, il est impossible de ne pas penser à notre propre Vallée d’Aoste et à son autonomie. Si la Savoie, le Valais ou le Piémont décidaient de nous annexer, que ferions-nous ? Notre histoire, notre culture et nos droits ne sont pas négociables. Tout comme les Palestiniens, nous avons le droit de décider de notre avenir et de défendre notre identité face à ceux qui voudraient nous réduire à de simples instruments politiques. L’autonomie n’est pas un détail : elle est au cœur de notre dignité.
Il ne s’agit pas de prendre parti pour ou contre un État, mais de dire oui au peuple palestinien, oui à la liberté, non à Netanyahu et à ses plans d’oppression. Et en même temps, de rappeler que chaque peuple a le droit de défendre sa terre, sa culture et sa liberté. La politique italienne devrait faire un pas en arrière et regarder les faits en face : soutenir la vie, la dignité et les droits des Palestiniens n’est pas une faveur, c’est une obligation morale envers l’humanité.




