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Zona Franca | 22 marzo 2013, 10:28

L'OPINIONE DI ENRICO FABBRO: Pipì o pipi...tra Parigi e Aosta non è solo questione di accento

L'OPINIONE DI ENRICO FABBRO: Pipì o pipi...tra Parigi e Aosta non è solo questione di accento

Se state per partire per Parigi, toglietevi la soddisfazione di visitare il sito www.parisii.fr/toilettes e troverete oltre ad informazioni  turistiche anche indicazioni utili sul servizio  gabinetti automatici pubblici <gratuiti>. 

'Parisii désigne le nom des gens qui ont habité dans la région de Lutèce à l’époque romaine, Jules-César lui-même les a croisés vers 53 av. JC.  et l’empereur Romain Vespasien, installa les premières toilettes publiques à Rome presque deux millénaires plus tôt.Elles sont apparues en 1834, sous la volonté énergique du préfet de la Seine, le comte Claude-Philibert Barthelot de Rambuteau, convaincu par les théories hygiénistes, d’où provient sa devise : « de l’eau, de l’air, de l’ombre » : il fallait donc nettoyer Paris, afin d’éviter les maladies'.

La capitale francese ossequia i <vespasiani> dell’Imperatore Giulio Cesare e li confronta con i loro moderni <sanisettes> gratuiti ed adatti  a chiunque debba fare pipì ecc. anche  per i disabili in carrozzella. In Aosta città il primo impianto di  vespasiano <moderno> è stato tentato nel 1950 dal Sindaco Fabiano Savioz, osteggiato dal Senatore Ernest Page (vicino di casa) e dal Presidente Séverin Caveri, con la famosa ed epicissima <cessocomiomachia>.

'Vous avez sûrement remarqué, en marchant dans les rues de Paris que les <sanisettes> toilettes publiques parisiennes sont en train de changer ! Cet élément essentiel pour nos vessies un peu trop chargées, sauveur de bien de personnes en difficultés est ainsi en pleine rénovation depuis mars 2009. C’est une heureuse alternative aux bars et cafés, où il faut obligatoirement consommer pour avoir accès aux toilettes.L'électricité des toilettes est obtenue uniquement à partir d'énergies renouvelables. 

La première question que je me suis posé en voyant ces nouvelles toilettes publiques : pourquoi changer quelque chose de relativement récent ? (1980) On espère que ce n’est pas qu’à cause de l’esthétisme, au vu du prix que le remplacement intégral des 400 sanisettes parisiennes engendre aux comptes de la Mairie.Les anciens défauts des « chiottes publiques » ont été corrigés,  ça change des anciennes, fabriquées en matériaux recyclables, tout le confort est là  et tout est  propre : toilettes chauffées, miroir, sèche-main, distributeur de papier, le lavage est ici automatique (utilisent l’eau de pluie), que ce soit la cuvette ou le sol, après chaque utilisation des toilettes. Les angoisses de rester coincé à l’intérieur n’ont plus de raison d’être : on peut maintenant ouvrir manuellement la porte.

Et en plus les modernes sanisettes sont utiles-accessibles soit pour  les personnes normales et handicapées, y compris en fauteuil roulant...Désormais, c’est écrit en braille et au moins en 3 langues, il y a des instructions sonores disponibles avec un bouton à l’entrée, l’espace est large, sur la porte, on peut voir 4 voyants lumineux : « en service », « occupé », « en lavage » et « hors service » .  Il est interdit d’y rentrer à deux (ce que les prostituées ont l’habitude de faire avec des clients…), interdit d’y fumer, et  interdit d’y rester plus de 20 minutes ! Il faut bien laisser la place aux autres personnes ayant des envies pressantes, ce qui interdit le squat, devenu malheureusement habituel, par des sans -abri'.

Ancora oggi la discussione è aperta, il dilemma toilette a pagamento o gratis è vissuto da qualsiasi comunità con attenzione, ma è superato per pochi centesimi di euro, meglio pagare e contribuire alle spese di mantenimento in perfetta efficienza.

Qui in Val d’Aosta oggi non si riesce ad avere la soddisfazione  di vedere in città dei cessi nuovi né a pagamento figurarsi gratis. In fondo la cosa sarebbe imitabile tra i nostri < antenati salassi>   che incassano per legge l’indennità francese di bilinguismo per parlicchiare nella loro <funzione lavorativa pubblica> con quella dei <parisii >non meno antichi  che non prendono alcuna indennità nè a parlare il francese e neanche l’italiano, da qui la storica scelta  turistica della gratuità delle <sanisettes>.

enrico fabbro

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