Promesse infrante, aumenti ridicoli e difesa dei ricchi: così il governo lascia a mani vuote lavoratori e pensionati
In Italia, con il governo Meloni, chi ha già tanto sta tranquillo. Chi ha poco? Tre euro di aumento, forse. Tre euro al mese. Un caffè e via. Una misura simbolica, un contentino che fotografa l’attenzione reale verso chi lavora davvero e porta il Paese sulle spalle.
La promessa di tagliare le tasse si è rivelata un miraggio. Secondo i dati citati dal Partito Democratico, la pressione fiscale complessiva è salita dal 41,7% del Pil nel 2022 al 42,8% nel 2025, il livello più alto dell’ultimo decennio. Antonio Misiani, responsabile economico del PD, lo chiama per quello che è: un bluff annunciato. La favola delle tasse più leggere si è scontrata con la realtà dei numeri: accise, IVA e imposte indirette gravano sulle tasche dei cittadini e colpiscono soprattutto chi vive di stipendio, pensione o piccolo reddito.
Il governo Meloni è rassicurante solo per le banche, i giganti del web e chi possiede già molto. Lo ha sottolineato Giuseppe Conte, leader del Movimento 5 Stelle: “Le misure adottate premiano i grandi patrimoni e le multinazionali, mentre le famiglie faticano a far quadrare i conti.” E Angelo Bonelli di Alleanza Verdi e Sinistra non usa mezze parole: la destra difende i ricchi e abbandona i poveri. Una frase che sintetizza perfettamente la logica di un esecutivo che ha scelto da che parte stare.
I numeri raccontano una storia drammatica: 5,7 milioni di italiani vivono in povertà assoluta, e oltre 1,3 milioni hanno rinunciato alle cure mediche per motivi economici. E cosa fa il governo? Tre euro agli operai, zero patrimoniale, condoni fiscali e agevolazioni per chi ha già redditi e rendite elevate. Un’Italia che cresce solo per i pochi in cima, lasciando a terra chi fatica a sopravvivere.
È un Paese in cui le disuguaglianze aumentano sotto gli occhi di tutti. Dove l’aumento dei prezzi, delle bollette e dei beni di prima necessità si somma a una pressione fiscale mai così alta in dieci anni. Dove le parole “equità” e “giustizia sociale” sembrano slogan da campagna elettorale, mentre nella vita reale i cittadini contano centesimi e monete per arrivare a fine mese.
Il Paese di Meloni si costruisce così: slogan di crescita e responsabilità sociale, ma una realtà fatta di incongruenze e ingiustizie, in cui i lavoratori e i pensionati pagano il prezzo più alto. Tre euro di aumento, un contentino simbolico, mentre chi possiede già molto vede le proprie tasche protette, intatte e ingrossate. La narrazione pubblica di equità si scontra quotidianamente con la statistica della povertà e con le scelte fiscali reali.
E mentre la retorica politica cerca di coprire le crepe con annunci roboanti e frasi ad effetto, gli italiani vedono chi si arricchisce e chi si impoverisce, chi riceve protezione e chi viene lasciato indietro. È il Paese di Meloni, dove la favola della giustizia sociale si misura con tre euro al mese, e il resto è solo marketing.
Tre euro. È il prezzo della favola. Tutto il resto è realtà.
Il Paese di Meloni
Promesses non tenues, augmentations ridicules et défense des riches : le gouvernement laisse les travailleurs et les retraités les mains vides
En Italie, avec le gouvernement Meloni, ceux qui possèdent déjà beaucoup sont tranquilles. Ceux qui ont peu ? Trois euros d’augmentation, peut-être. Trois euros par mois. Un café et puis s’en va. Une mesure symbolique, un petit geste qui reflète l’attention réelle envers ceux qui travaillent vraiment et portent le pays sur leurs épaules.
La promesse de réduire les impôts s’est révélée un mirage. Selon les données citées par le Parti Démocrate, la pression fiscale globale est passée de 41,7 % du PIB en 2022 à 42,8 % en 2025, le niveau le plus élevé de la dernière décennie. Antonio Misiani, responsable économique du PD, appelle cela un bluff annoncé. Le conte des impôts plus légers s’est heurté à la réalité des chiffres : taxes, TVA et impôts indirects pèsent sur le portefeuille des citoyens et touchent surtout ceux qui vivent d’un salaire, d’une pension ou de petits revenus.
Le gouvernement Meloni est rassurant seulement pour les banques, les géants du web et ceux qui possèdent déjà beaucoup. Giuseppe Conte, leader du Mouvement 5 étoiles, l’a souligné : “Les mesures adoptées favorisent les grands patrimoines et les multinationales, tandis que les familles peinent à joindre les deux bouts.” Et Angelo Bonelli d’Alleanza Verdi e Sinistra ne mâche pas ses mots : la droite défend les riches et abandonne les pauvres. Une phrase qui résume parfaitement la logique d’un exécutif qui a choisi son camp.
Les chiffres racontent une histoire dramatique : 5,7 millions d’Italiens vivent dans la pauvreté absolue, et plus de 1,3 million ont renoncé aux soins médicaux pour des raisons économiques. Et que fait le gouvernement ? Trois euros pour les ouvriers, pas d’impôt sur la fortune, amnisties fiscales et avantages pour ceux qui ont déjà des revenus et des patrimoines élevés. Une Italie qui croît seulement pour les quelques-uns au sommet, laissant sur le bas-côté ceux qui luttent pour survivre.
C’est un pays où les inégalités augmentent sous les yeux de tous. Où la hausse des prix, des factures et des biens de première nécessité se cumule à une pression fiscale jamais aussi élevée depuis dix ans. Où les mots “équité” et “justice sociale” semblent des slogans de campagne électorale, alors que dans la réalité, les citoyens comptent chaque centime pour boucler leur mois.
Le pays de Meloni se construit ainsi : slogans de croissance et de responsabilité sociale, mais réalité faite d’incohérences et d’injustices, où les travailleurs et les retraités paient le prix le plus élevé. Trois euros d’augmentation, un geste symbolique, tandis que ceux qui possèdent déjà beaucoup voient leur portefeuille protégé, intact et surtout grossi. La narration publique de l’équité se heurte quotidiennement aux statistiques de la pauvreté et aux choix fiscaux réels.
Et tandis que la rhétorique politique tente de recouvrir les fissures avec des annonces tapageuses et des phrases d’effet, les Italiens voient qui s’enrichit et qui s’appauvrit, qui reçoit protection et qui est laissé de côté. C’est le pays de Meloni, où le conte de la justice sociale se mesure à trois euros par mois, et tout le reste n’est que marketing.
Trois euros. C’est le prix du conte. Le reste est la réalité.





