Dans un bref discours d’investiture pendant lequel il a remercié les Conseillers et les Conseillères de la confiance qui lui a été accordée de nouveau à l’unanimité, il a tenu à confirmer l’engagement de cette institution pour la défense des valeurs d’une société démocratique et plurielle dans le cadre de l’Autonomie valdôtaine.
Le Conseil a, par la suite, nommé M. Corrado Binel à la vice-présidence.
Largement rénové par l’apport de nouvelles compétences et une importante présence de femmes, le Conseil — qui voit la présence des autres membres élus, Mmes Maria Pia Simonetti, Carla Pramotton, Simona D’Agostino, Chantal Vuillermoz, et des Mm Guido Corniolo, Piero Lucat, Giuseppe Grassi —, a poursuivi son activité par un débat ouvert et dense qui laisse entrevoir la possibilité d’une intense activité pour les années à venir, en suivant le sillon déjà tracé depuis longtemps.
Dans cette société bouleversée et inquiète, l’Institut doit demeurer, comme il a toujours fait, un pilier incontournable dans les domaines non seulement de la recherche, mais aussi de la culture et de la formation des nouvelles générations.
Pour ce faire, l’Institut, qui compte dans son équipe madame la Directrice Vilma Villot, l’attaché historien professeur mr Andrea Désandré qui s’occupe aussi de la Didactique de l’histoire, et la secrétaire et chargée de la rédaction madame Marisa Alliod, s’engage, entre autres choses, à suivre le sillon des relations de collaboration avec d’autres institutions au niveau régional mais aussi national, tel que le réseau italien des 65 Instituts de la Résistance et de l’histoire contemporaine en Italie, dont l’Institut fait partie en tant que membre associé depuis sa fondation en 1974, et les 15 institutions en liaison, et le niveau européen des études d’histoire contemporaine.





